Mercato : le FC Nantes vise à doubler sa mise sur ses transferts

Je viens de tomber sur une information qui va faire jaser dans les coulisses du mercato nantais ! Selon un média spécialisé dans l’actualité du football, le FC Nantes aurait des ambitions financières très claires concernant le transfert de Moses Simon. Et franchement, je trouve cette stratégie plutôt audacieuse quand on connaît la situation actuelle du club.

Moses Simon, la pépite nantaise qui fait saliver le marché

Vous savez ce qui me intéresse chez Moses Simon ? Sa capacité à mettre le feu dans les défenses adverses match après match. À 29 ans et pour sa cinquième saison sous le maillot jaune et vert, l’international nigérian continue de briller comme au premier jour. Je ne vous apprends rien en vous disant qu’il figure parmi les meilleurs dribbleurs de Ligue 1, aux côtés de stars comme Désiré Doué ou Ousmane Dembélé.

Sa technique, ses accélérations foudroyantes et sa vision du jeu en font un joueur d’exception dans notre effectif. Quand je le vois percuter sur son aile, ça me rappelle pourquoi je suis tombée amoureuse du style de jeu nantais : technique, élégant et efficace.

Pas étonnant que plusieurs clubs européens aient déjà manifesté leur intérêt pour s’attacher ses services lors du prochain mercato estival. Ce genre de talent ne passe jamais inaperçu longtemps, même quand on évolue loin des projecteurs des grosses écuries européennes.

D’ailleurs, son profil rappelle un peu celui de Yassine Benhattab, ce meilleur passeur de National recruté par le FC Nantes, avec cette capacité rare à faire des différences techniques.

La stratégie financière du club pour ce transfert

Voici où les choses deviennent vraiment intéressantes ! La direction nantaise a fixé un prix plancher pour son ailier vedette. Recruté en 2020 pour la somme de 5 millions d’euros, Moses Simon ne quittera la Beaujoire que contre un montant au moins deux fois supérieur à l’investissement initial.

En clair, pas question pour Waldemar Kita de céder son joueur pour moins de 10 millions d’euros. Une stratégie qui vise clairement à rentabiliser l’investissement tout en reconnaissant la plus-value sportive apportée par le joueur durant ses années nantaises.

La logique de valorisation des actifs du club semble s’articuler autour de plusieurs facteurs :

  • La performance constante du joueur depuis son arrivée
  • Sa cote sur le marché international
  • Son statut d’international nigérian
  • Son expérience dans le championnat français
Année Prix d’achat Prix de vente minimum souhaité Plus-value potentielle
2020 5 millions € 10 millions € 5 millions €

Les défis d’une vente sous pression contractuelle

Je dois quand même vous signaler un détail qui pourrait compliquer cette équation. Bien que Moses Simon soit sous contrat jusqu’en juin 2026, sa situation contractuelle représente un véritable enjeu pour les dirigeants nantais. Dans un an, le joueur pourrait potentiellement négocier librement avec d’autres clubs.

Cette contrainte temporelle place le FC Nantes dans une position délicate pour ce mercato estival. D’un côté, le club souhaite maximiser le retour sur investissement, de l’autre, il doit rester réaliste face au risque de voir la valeur du joueur diminuer avec le temps.

Les options qui s’offrent aux Canaris sont les suivantes :

  1. Vendre cet été au prix fixé (minimum 10M€)
  2. Prolonger le contrat du joueur pour sécuriser sa valeur
  3. Risquer de le conserver et potentiellement le voir partir libre

Je trouve cette situation particulièrement intéressante à suivre. Elle illustre parfaitement les défis financiers auxquels font face les clubs de notre dimension dans le football moderne.

L’impact sportif d’un départ de Moses Simon

Au-delà des considérations financières, je m’interroge vraiment sur ce que deviendrait notre attaque sans Moses Simon. Quand on perd un joueur capable de créer des différences individuelles, c’est tout un système de jeu qu’il faut repenser.

Son jeu de percussion et sa qualité technique apportent cette touche créative qui fait souvent la différence dans les moments cruciaux. Remplacer un tel profil ne se fait pas du jour au lendemain, et les fonds récupérés devront être intelligemment réinvestis pour ne pas affaiblir l’équipe.

J’espère sincèrement que le mercato estival nous réservera de bonnes surprises, quelle que soit l’issue du dossier Simon. Une chose est sûre : les prochaines semaines s’annoncent animées dans les bureaux de la Jonelière !

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