Je viens de tomber sur une nouvelle qui va faire jaser toute la communauté des Jaunes ! Et franchement, quand j’ai lu l’info sur But! Football Club, j’ai d’abord cru à une blague… Moses Simon, notre ailier nigérian qui nous régale depuis cinq saisons, pourrait bien faire ses valises. Mais accrochez-vous, pas n’importe où : chez un rival direct de Ligue 1 ! Une situation qui me fait grincer des dents, même si je comprends les enjeux.
La naturalisation française au cœur du mercato de Moses Simon
Alors que je pensais que notre ailier pourrait être tenté par une expérience à l’étranger, voilà que sa situation administrative vient tout chambouler. Moses Simon attend sa naturalisation française, et ce détail change absolument tout dans l’équation de son mercato.
Bruno Satin, son agent, a clairement annoncé la couleur : « Moses est en attente de sa naturalisation. Pour que la procédure aboutisse, il doit rester en France encore quelque temps. » Cette déclaration limite considérablement les options du joueur de 29 ans, pourtant sous contrat avec nous jusqu’en 2026.
Malgré les approches de clubs allemands et turcs ces derniers mois, notre attaquant nigérian semble désormais contraint de rester sur le territoire français s’il veut obtenir ce précieux sésame administratif. Un paramètre que je n’avais pas vu venir dans l’équation du mercato nantais !
Les options qui s’offrent à lui se résument donc à :
- Prolonger l’aventure au FC Nantes malgré une fin de saison compliquée
- Rejoindre un autre club de Ligue 1 pour continuer sa carrière en France
- Sacrifier sa demande de naturalisation pour une expérience à l’étranger
Le Stade Rennais prêt à braconner chez les Canaris
Et voilà où ça devient vraiment compliqué pour mon petit cœur jaune et vert… Le Stade Rennais serait très intéressé par le profil de Moses Simon ! Vous imaginez ? Notre ailier percutant sous les couleurs rouges et noires ? J’ai du mal à me faire à cette idée.
Je comprends évidemment l’intérêt des Rennais pour un joueur de sa trempe. Avec son expérience, sa vitesse et sa connaissance parfaite du championnat français, Moses représente une valeur sûre. Et d’un point de vue sportif, comme pour Johann Lepenant dont l’agent sème aussi le doute sur son avenir, cette option aurait du sens.
Pour notre direction, la tentation de le vendre cet été pourrait être forte. Éviter de voir partir libre un joueur de ce calibre dans un an relève presque du bon sens économique, même si sportivement, c’est un coup dur. À 29 ans, c’est peut-être aussi la dernière chance pour le club de récupérer une indemnité significative.
| Club | Avantages pour Moses | Inconvénients |
|---|---|---|
| FC Nantes | Stabilité, statut de cadre | Projet sportif incertain |
| Stade Rennais | Ambitions européennes, stabilité | Rivalité régionale, adaptation |
Un dilemme administratif qui redéfinit les contours du mercato
Ce qui me attire dans cette affaire, c’est comment un élément extra-sportif vient totalement redessiner la carte du mercato. La naturalisation, un objectif personnel pour Moses Simon, devient le facteur déterminant de son avenir professionnel.
Voici comment je vois se dérouler les prochaines semaines :
- Des discussions internes au FC Nantes pour évaluer l’intérêt de le conserver
- Des négociations avec le Stade Rennais qui risquent de s’intensifier
- Une décision finale qui sera probablement dictée par l’avancement de sa procédure de naturalisation
Cette situation représente un véritable casse-tête pour toutes les parties. Pour Moses, qui doit équilibrer ambitions sportives et projet personnel. Pour le FC Nantes, qui risque de voir partir un joueur majeur chez un rival. Et pour les supporters comme moi, qui détesteraient voir un de nos chouchous briller sous d’autres couleurs, surtout celles d’un rival historique.
D’ici la fin du mercato, je vais suivre ce dossier de très près. Une chose est sûre : que Moses reste ou parte, j’espère que la direction a déjà des plans pour renforcer notre attaque. Parce que le jeu à la nantaise sans joueurs créatifs et percutants, ce n’est plus vraiment le jeu à la nantaise, n’est-ce pas ?
Salut, moi c’est Lyna, 24 ans, community manager et fan de foot depuis que je tiens une manette. Je viens de Rennes (je sais, je sais…), mais je suis tombée amoureuse du jeu à la nantaise en découvrant des vidéos de la génération Pedros – Loko – Ouédec. Sur FCNhisto.fr, j’apporte un regard créatif, spontané et un brin provoc’ à l’histoire du club : formats courts, visuels, interviews et débats 100% passion.